Du 17 juin au 13 juillet 2017 : La Rhénanie-Palatinat par Philippe Maupetit

 

En 2016, Philippe Maupetit a fait quelques photographies lors d’un voyage en Rhénanie-Palatinat. Certaines d’entre elles ont été exposées dans le pavillon d’honneur de la Foire gastronomique de Dijon l’année dernière et d’autres ont servi d’illustrations pour la revue Vinidivio. Venez découvrir certains des joyaux de la Rhénanie-Palatinat aux travers de magnifiques photographies en grand format qui n’ont pas encore été présentées au public.

Vous pourrez ainsi admirer des clichés de la vie mayençaise avec sa cathédrale et son marché, la vallée du Rhin à Coblence et le fameux “Deutsches Eck”, la vallée de la Moselle et bien d’autres paysages inoubliables.

Mayence, le marché, © Philippe Maupetit

 

L’exposition inaugurée à l’occasion des 21èmes Journées de Rhénanie-Palatinat, est ouverte au public aux horaires d’ouverture habituels de la Maison à partir du lundi 19 juin.

 


 

Pour en savoir plus :

Philippe Maupetit est photographe. Il participe à la mise en images de l’actualité régionale. Mais sa passion le pousse à explorer tous les horizons, proches et lointains, à la recherche des femmes et des hommes qui donnent leur esprit aux lieux.

De ses premiers pas et son apprentissage photographique au cœur des parcs régionaux, il a gardé cet instinctif regard, toujours en quête d’ombres à décrypter.

Ainsi parcourt-il le globe depuis une dizaine d’années, de pays en pays, insatiable observateur d’un instant de vie. A chacun de ses retours, un livre, une exposition en porte témoignage. Telle naît alors la série des “Impressions”, ouvrages atypiques où les images dessinent aussi, au fur et à mesure, le style du photographe, installant dans le temps, au-delà des émotions, une technique rôdée aux contraintes du voyage.

Mexique, Maroc, Sri Lanka, Thaïlande, Liban, Chine, Espagne et aujourd’hui Grèce, se mirent devant son objectif.

Toujours en quête de subjectivité délibérée, Philippe Maupetit travaille également à saisir l’événement, revenant avec des images historiques de la chute du mur de Berlin, des chercheurs d’or au Yatenga (Afrique de l’Ouest) ou de l’Après-Tsunami au Sri-Lanka.

Eclectique, il s’enferme, quelques années, non pas dans la chambre noire mais dans l’obscurité des salles de spectacle et publie “Le Corpsmouvement”, un travail en noir et blanc dédié aux plus grands chorégraphes contemporains.

Spectacles vivants, mais aussi patrimoine, Philippe sort, en 2007, “Portrait de Ville : Dijon”, en collaboration avec l’écrivain Jean Vautrin. La même année, le photographe consacre une exposition au quotidien des femmes en Afrique de l’Ouest, “Venegre Nooma”.

2009 reste une année active. Il travaille au portrait du peintre franco-chinois Yan-Pei Ming à l’occasion de son entrée au Louvre avec l’oeuvre intitulée “Les Funérailles de Monna Lisa”, expose dans les rues d’Auxerre des images grand format “Mexique, voyage immobile”, signe la campagne du ministère de la Culture à l’occasion des Journées européennes du Patrimoine avec l’agence les Pistoleros et publie l’ouvrage “Impressions Grèce” (sortie nationale janvier 2010).